dimanche 12 août 2007

Le noir et blanc pour pallier à la couleur.


Le noir et blanc pour pallier à la couleur, il ne sert de tenter de retrouver la fraîcheur des vrais tons, leurs vibrations. Car il faut du silence pour que l’on observe. Parce qu’il faut que ça interpelle pour que ça parle. Parce que nos yeux voient la couleur constamment. Parce qu’il sont las.
Elles n’éblouissent plus personnes les couleurs, même le sang est transparent…même le sang. En noir et blanc on le verrait, tout du moins on se demanderait si ça en est. En est-ce vraiment? Est-ce toujours du sang que du sang noir et blanc. Oui pour un daltonien. Qu’à cela ne tienne faisons nous daltoniens. Vos organes vous en empêchent, un clic et le tour est joué. Un monde en blanc en noir. N’est ce pas l’harmonie même? Et les autres tons, jaunes, et tout ce que vous voudrez seront rendus par les nuances de gris.

Mais du noir et blanc pour que vous compreniez, ce n’est pas commun. Pas vulgaire. L’on s’y attache, et l’on voit enfin de nouveau. Et ce n’est rien, tout tiens à rien… la preuve.

Aucun commentaire: