jeudi 16 août 2007

Quand il y a de la couleur...


La couleur des fois s’impose, ou est-ce un geste maladroit qui s’est révélé un choix judicieux. Laisser sa chance au hasard. Elle révèle une mosaïque urbaine. La couleur se fait trame. Elle guide l’œil du premier plan jusqu’au fond de la photo. La couleur n’est pas indispensable, un accident, un accident, il y a eu heurt quelque chose a jailli, un jet de couleur. Elles s’agglutinent, les couleurs se mêlent, se ne sont plus des blocs, des bâtiments, du bois une échelle, un mur du béton qui se présentent à vous. La fumée est un gris estompé, le ciel a été mouillé. Un ange pisse, voilà la question est résolue.
Voyez vous mêmes ce sont là des couleurs. Une arabesque. Vert, rouge, gris, gris-pisse – …l’ange. Du blanc quelques taches éparses. Là où il y a gris, il y a blanc. C’est pur. Il faut de la pureté dans tout. C’est vrai, c’est saint, ça ne vaut que pour soi. Comme les couleurs, comme la photo. Elle ne sert à rien. Ou peut être bien que…? Pour l’art. L’art peut-il servir, oui à être de l’art tout d’abord, c’est idiot. Des portes que l’on enfonce.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

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